dimanche 2 mai 2010

Aide au développement


L'aide est souvent financière mesurée par des flux financiers (l'envoi de coopérants est chiffré). Elle va généralement des pays développés vers les pays sous-développés, en particulier les pays les moins avancés, mais une aide des pays émergents (Chine, monarchies pétrolières) vers les pays les moins avancés commence à se développer, ressources naturelles. Elle est internationale. Le donateur peut être constitué d'un pays ou d'une entité publique ou privée d'un pays (pour la France c'est l'Agence française de développement (AFD) ou encore d'un groupe de pays par l'intermédiaire d'une organisation internationale (FMI, Banque mondiale…). L'aide peut cependant venir d'une entité interne au pays même (filiale de multinationales implantées dans un pays).

L'aide publique au développement (APD) est la forme la plus connue de l'aide au développement. Mais l'aide au développement est aussi le fait de particuliers, d'entreprises, d'ONG, de fondations…

L'aide au développement est une action qui peut prendre les formes suivantes :
– financement de projets par dons ;
– prêts d'argent à taux préférentiel ;
– annulation de dettes.
Les activités poursuivies sont très diverses selon les pays et selon les partenaires :
– formation et éducation de la population ;
– santé-soins, médicaments...
– infrastructures-routes, hôpital, écoles, barrages, puits…
– appui aux politiques de l'État ;
– conseils techniques (envois d'experts).

L'aide au développement comprend également l'aide d'urgence mais elle s'en distingue, en théorie, car elle devrait favoriser l'essor des populations aidées alors que l'aide d'urgence n'intervient que dans des situations de catastrophes naturelles ou conflits armés, en théorie.
La réalité sur le terrain est souvent plus complexe, les deux instruments étant souvent utilisés de manière complémentaire. Les motifs de l'aide au développement, notamment dans le cas de l'APD, sont souvent politiques. Ils peuvent être philosophiques, humanistes ou religieux. La forme que prend l'aide au développement révèle aussi la vision du développement que se fait celui qui aide.

En lieu et place d'aide au développement, bon nombre de professionnels préfèrent l'appellation coopération au développement. En effet, hors du paradigme assistentialiste, la coopération au développement prône des projets élaborés par les populations locales ; en ce sens, elle constitue un réel accompagnement participatif.

Le concept évolue actuellement vers celui de codéveloppement entre les pays développés et ceux moins avancés.

Les grandes institutions en charge de l'aide au développement sont multiples.
Chaque gouvernement en Europe a sa propre agence :
– en France : le ministère de Affaires étrangères et l'Agence française de développement ;
– en Angleterre : le Department for International Development ;
– aux États-Unis : USAID ;
– en Allemagne : GTZ…

EN EUROPE:

L'Union européenne - Etats membres et Communauté confondus - fournit 55 % du total mondial de l'aide publique au développement, ce qui en fait de loin le premier bailleur de fonds aux pays en développement.

La politique européenne de développement remonte au tout début de la construction européenne à la fin des années 1950, avec la mise en place du premier Fonds européen de développement (FED) et la conclusion en 1963 de la Convention de Yaoundé qui associait les 6 Etats membres de l'Union européenne à 17 Etats africains et malgache.

Initialement centré sur l'Afrique francophone, ce partenariat singulier Afrique - Caraïbes - Pacifique / Communauté européenne s’est élargi, au fil des conventions, à l’ensemble de l'Afrique et à quelques Etats des Caraïbes et du Pacifique, parmi les plus pauvres du monde. La coopération avec les pays ACP (Afrique - Caraïbes - Pacifique) est aujourd'hui régie par l'Accord de Cotonou conclu en 2000. Celui-ci repose sur trois piliers indissociables : le dialogue politique, les échanges commerciaux et la coopération au développement.

Parallèlement, l'Union européenne s’est dotée d'autres instruments de développement - programmes régionaux pour l'Amérique latine, l'Asie, les pays méditerranéens, etc. - et lignes budgétaires thématiques.

Bibliographie :

WIKIPÉDIA. Aide au développement, [Consultation : 30/04/10]. Disponible : http://fr.wikipedia.org/wiki/Aide_au_d%C3%A9veloppement

TOUTE L'EUROPE. Aide au développement, [Consultation 30/04/10]. Disponible : http://www.touteleurope.fr/fr/actions/relations-exterieures/aide-au-developpement/presentation/l-aide-au-developpement.html

(Image) POPULATION DATA. Carte de l'indice de développement humain 2005 (IDH), [Consultation : 1/04/10]. Disponible : http://www.populationdata.net/indexcarte.php?option=palmares&mid=1280&lid=1&nom=idh-2005

Aides d'urgence


L’aide d’urgence fait partie intégrante du travail de développement. Si la sonnette d’alarme est tirée quelque part ou si l’un des partenaires demande assistance pour une situation d’urgence, les gestionnaires de projets, les partenaires concernés et les spécialistes de l’urgence mettent au point un plan afin de trouver rapidement une solution. Une fois le plan approuvé et les moyens financiers trouvés, l’action d’urgence commence.
Grâce aux contributions financières du gouvernement fédéral belge, de l’Union européenne (ECHO), des Communautés, d’autres Oxfam et du public belge, des actions d’urgence peuvent être menées dans de nombreux pays comme au Mozambique, au Congo, au Vietnam...

Principes de base.
Les activités visent la prévention et la réponse aux situations d’urgence. Elles sont basées sur le droit à la vie et à la sécurité, l’un des 5 droits fondamentaux sur lesquels les aides d'urgence fondent ses activités. L’aide d’urgence défend le droit à la vie et à la sécurité par la poursuite de deux objectifs : la diminution sensible du nombre de personnes qui meurent, tombent malades ou souffrent suite à un conflit armé ou une catastrophe naturelle et la diminution sensible du nombre de personnes victimes de violence ou obligées de se déplacer suite à un conflit armé.

En pratique.
Les actions visent à livrer une aide d’urgence directe comme de la nourriture, des médicaments de base, de l’eau ou des semences. Mais elles se limitent pas à cela. Il est très important de prévenir au maximum les situations d’urgence, de ramener le plus rapidement possible une situation d’urgence à un niveau "normal" et de mener des actions de plaidoyer auprès de la communauté internationale pour trouver des solutions durables.

Garantir la qualité
Le respect des droits, l’impartialité, la continuité, la durabilité et le genre forment les principes de base de l'analyse de la situation.

Les pistes de l’économie sociale sont souvent évoquées pour relever les grands défis contemporains, en particulier les crises de l’emploi et de l’État-providence dans les pays industrialisés, comme les problèmes liés aux ajustements structurels dans la plupart des économies en développement. Le « troisième secteur », aux côtés des secteurs privé à but lucratif et public traditionnels, s’affirme à l’échelle internationale, réunissant entreprises coopératives, mutuelles et surtout associations. On parle d’« économie populaire », d’« économie du travail », ou encore d’« économie solidaire » dans les pays hispanophones ; le monde anglo-saxon dira plutôt « comunity development » (économie ou développement communautaire) ; dans les régions francophones et néerlandophones, on a recours aux termes d’« économie sociale » ou « coopérative ». Ces différentes terminologies ne sont pas interchangeables mais font toutes référence à un large spectre de formes d’organisations qui reposent sur la solidarité et la coopération.

L’économie sociale ne représente pour l’instant qu’un nombre modeste de postes mais son développement exige un personnel de plus en plus professionnel (et peut-être moins militant): les questions techniques semblent avoir pris le pas sur les questions éthiques et politiques. Cette tendance concerne surtout les organisations non gouvernementales, tant dans les secteurs de l’aide humanitaire et de la défense des droits de l’homme que dans les programmes d’aide ou d’éducation au développement.

Le travail ne se limite pas à la seule médecine humanitaire. Employeurs, terrains d’action et profils de poste offerts par la solidarité internationale, sont très variés. Actuellement, la moindre offre d’emploi dans des associations requiert spécialisation, souvent de niveau Master, expérience professionnelle, plusieurs langues étrangères. Parallèlement aux emplois « opérationnels », solidarité internationale, développement et humanitaire suscitent une production intellectuelle importante, qui mobilise de nombreux experts et chercheurs dans des domaines tels que micro-finances, politiques publiques, modélisation économique, etc. Dans ces conditions, les études suivies orientent toute carrière dans ce secteur.

Bibliographie :

OXFAM SOLIDARITÉ. Aides d'urgence : principes de base, [Consultation : 28/04/10]. Disponible : http://www.oxfamsol.be/fr/Aide-d-urgence-principes-de-base.html

CAMPUS FRANCE. Économie solidaire - Humanitaire, [Consultation 28/04/10]. Disponible : http://editions.campusfrance.org/filieres/fr/ecosolidaire_fr.pdf

(Image) TU PATROCINIO. Asociacion Humedal Abras de Mantequilla, [Consultation 30/04/10]. Disponible : http://www.tupatrocinio.com/fentidad.cfm/entidad/54798120081556676653655250674567.html

samedi 1 mai 2010

La course contre la faim au Lycée Français de Bilbao


La Course contre la Faim est un projet citoyen car il permet aux élèves de s’ouvrir au monde en prenant connaissance du fléau qu'est la malnutrition. "Prendre connaissance et comprendre les dimensions du fléau de la faim, c’est déjà commencer à agir" nous explique Jean-Christophe Rufin, ancien président d’ACF. En effet, la faim est un enjeu d’aujourd’hui mais surtout de demain, comme nous l’indique les chiffres récents de la FAO sur le nombre de personnes touchées, en constante augmentation (à ce jour, plus d'un milliard de personnes sont sous alimentées). Sensibiliser les jeunes à ce problème et leur donner les moyens d’agir, c’est les confronter aux enjeux humains qu’ils auront à résoudre à l'avenir.
La solidarité, qu’elle soit internationale ou locale, est une valeur phare à transmettre. A travers ce projet, c’est un établissement tout entier qui exprime sa solidarité et dans lequel chaque acteur a un rôle à jouer pour lutter contre la première cause de mortalité au monde.

Cette année, La Course Contre La Faim aura lieu le mercredi 5 mai 2010 dans notre établissement, le Lycée Français de Bilbao. Des élèves depuis la classe de CM1 jusqu’à les élèves de 3ème vont courir pour aider principalement le pays du Tchad. L’année 2008, le Lycée Français de Bilbao a fait une récolte de 12 609,35 €. Avec La Course Contre La Faim, les élèves se sensibiliseront avec le thème de la faim dans le monde. Le jour de cette course, le Lycée Français de Bilbao prendra une ambiance de fête auprès de ce thème. Les jours précédents de la course, les élèves de tout l’établissement essayent de collecter de l’argent au maximum pour aider les pauvres habitants de notre planète Terre qui n’ont rien à manger chaque jour.

En 2009, plus de 215 000 élèves se sont mobilisés et ont permis de collecter plus de 2.5 millions euros. Les dons recueillis sont reversés à Action contre la Faim afin de soutenir ses programmes dans le monde entier. Ils constituent les fonds propres de l’association qui permettent à nos équipes de développer des programmes dans des pays qui, s’ils ne font plus l’actualité ou s’ils n’attirent pas l’attention des bailleurs de fonds institutionnels, ont plus que jamais besoin d’aide. En 2009, une partie des dons récoltés ont été affectés aux programmes du Libéria, de l'Afghanistan et du Zimbabwe.

Cette année, les dons récoltés vont servir prinipalement pour aider le Tchad. Le Tchad, pays limitrophe du Soudan, est aujourd’hui dans une situation humanitaire très grave. Dans cette région du globe, les facteurs de malnutrition se superposent : l’instabilité politique, les guerres et les sècheresses à répétition plongent la population tchadienne dans une situation d’urgence.

Le Tchad est l'un des pays les plus pauvres de la planète. Son indicateur de développement humain (IDH) le classe au 175ème rang mondial et 55% des Tchadiens vivent avec moins d’un dollar par jour. L’économie du pays est basée essentiellement sur l’agriculture et l’élevage, qui emploient près de 80% de la population active. De plus, un conflit sévit depuis 2003 au Darfour, région située à la frontière entre le Tchad et le Soudan. A ces violences s’ajoute une guerre civile entre l’armée tchadienne et des groupes rebelles qui s’opposent au gouvernement du président Déby.

Ces conflits ont poussé les populations civiles à quitter certaines régions pour fuir les zones les plus touchées. On dénombre aujourd’hui environ 400 000 personnes (215 000 soudanais réfugiés et 180 000 tchadiens déplacés) dans les camps de réfugiés. Ces personnes ont tout laissé derrière elles pour sauver leur vie. Elles se retrouvent sans ressources, dépendantes de l’aide internationale. Cette situation politique critique est aggravée par des dérèglements climatiques graves.

Depuis les années 1970, la saison des pluies arrive de plus en plus tard dans le Kanem, région située à l’ouest du Tchad. Les populations locales, traditionnellement éleveuses de bétail, sont obligées de migrer vers le Sud du pays car les sécheresses de plus en plus rudes, déciment peu à peu leurs troupeaux. Ils désertent ainsi leur terre pour tenter leur chance en ville. Dans ce contexte, les enfants sont les premières victimes du manque d’eau et de nourriture. Sur 10 000 enfants de moins de cinq ans vivant dans le Kanem, trois d’entre eux meurent chaque jour de malnutrition.

L’instabilité politique constante au Tchad freine le développement et empêche toute marche vers le progrès. L’économie du pays est basée essentiellement sur l’agriculture et l’élevage, qui emploient près de 80% de la population active. La découverte et l’exploitation de ressources pétrolières dans le pays depuis les années 2000 est une opportunité économique nouvelle mais aussi un facteur de convoitises et de tensions dans les régions concernées. De plus, le régime tchadien a été menacé de coup d’Etat à plusieurs reprises par les groupes rebelles Il s’enferme donc aujourd’hui dans une logique de guerre qui laisse peu de place à l’ouverture démocratique et au développement économique.

Bibliographie :

ACTION CONTRE LA FAIM. Un projet citoyen et solidaire, [Consultation : 26/04/10]. Disponible : http://www.coursecontrelafaim.org/la-course-contre-la-faim/un-projet-citoyen-et-solidaire/

ACTION CONTRE LA FAIM. La Course 2010 au profit du Tchad, [Consultation : 26/04/10]. Disponible : http://www.coursecontrelafaim.org/la-course-contre-la-faim/la-course-2010-au-profit-du-tchad/

(Image) ACTION CONTRE LA FAIM. 13ème édition de LA COURSE CONTRE LA FAIM dans les collèges. [Consultation : 26/04/10]. Disponible : http://www.actioncontrelafaim.org/espace-jeunes/

jeudi 8 avril 2010

Introduction


La faim dans le monde est un des principaux problèmes mondiaux, probablement le principal car il en existe peu d’autres d’importance aussi capitale et de puissance tant dévastatrice et régulière, causant plusieurs millions de morts par an.

Il existe sur Terre assez de nourriture pour nourrir convenablement 6 milliards de personnes, c’est à dire l’ensemble de la population terrestre.

815 millions de personnes souffrent de la faim dans le monde. Ce chiffre diminue en moyenne de 6 millions par an. Mais il faudrait que cette baisse passe à 28 millions pour réduire de moitié le nombre de personnes mal nourries d'ici à 2015, objectif fixé par l'Onu.

24.000 personnes meurent de faim chaque jour dans le monde, soit une toutes les quatre secondes.

Selon les estimations, la population mondiale devrait atteindre 9,1 milliards d’habitants au milieu du siècle actuel, soit une augmentation de 34 pour cent par rapport à aujourd’hui. La plus grande partie de cet accroissement se produira dans les pays en voie de développement. Près de 70 pour cent de la population mondiale sera urbaine (par rapport à 49 pour cent aujourd’hui). Les niveaux des revenus seront démultipliés par rapport à ce qu’ils sont aujourd’hui. Afin de nourrir cette population plus importante, plus urbaine et en moyenne plus riche, la production alimentaire (sans compter les produits alimentaires utilisés pour la fabrication de biocarburants liquides) doit augmenter d’environ 70 pour cent.

Bibliographie:

RVWEB. La faim dans le monde (1) : Introduction, [Consultation : 6/04/10]. Disponible : http://www.rvweb.fr/index.php?2001/12/13/4-la-faim-dans-le-monde-1

TERRE SACRÉE. Une personne meurt de faim toutes les quatre secondes, [Consultation : 6/04/10]. Disponible : http://terresacree.org/faim.htm

FAO. Nourrir le monde éliminer la faim, [Consultation : 6/04/10]. Disponible : ftp://ftp.fao.org/docrep/fao/Meeting/018/k6077f.pdf

(Image) SOURINE. As-tu bien mangé ?, [Consultation : 7/04/10]. Disponible : http://sourine.over-blog.com/article--as-tu-bien-mange--41503340.html

Les causes de la faim dans le monde


Les trois quarts de personnes souffrant la faim sont des paysans des pays en développement. La croissance démographique annoncée dans les cinquante prochaines années repose avec force la question de l'éradication de la faim dans le monde.

Des causes naturelles comme un changement climatique, souvent la sécheresse, mais également des catastrophes naturelles ou des maladies végétales (comme le mildiou de la pomme de terre en Irlande au XIXe siècle) peuvent entraîner une famine. Grâce aux progrès techniques en agriculture, ce type de famine est éliminé dans de nombreuses parties du monde.

L'Homme est également une des causes des famines, à travers les guerres (comme au cours de la guerre civile russe), l'instabilité sociale ou même la volonté politique.

La déstabilisation du marché de la nourriture, comme par exemple la distribution d'aide humanitaire en dehors d'un contexte d'urgence ou la suppression des barrières douanières, peut également amener à la faillite de l'agriculture locale et favoriser l'émergence d'une famine.

Les variations de ces facteurs humains et météorologiques expliquent les changements spatio-temporels des zones touchées par la faim. De même les rats, souris et certains insectes détruisent une grande quantité de nourriture mal stockées dans certains pays.

Bibliographie :

LA DOCUMENTATION FRANÇAISE. Faim dans le monde et politiques agricoles : bilan et perspectives, [Consultation : 4/04/10]. Disponible : http://www.ladocumentationfrancaise.fr/rapports-publics/084000210/index.shtml

WIKIPÉDIA. Famine, [Consultation : 5/04/10]. Disponible : http://fr.wikipedia.org/wiki/Famine#Causes

(Image) REVISTA AMAUTA. Global Food Fight, [Consultation : 5/04/10]. Disponible : http://revista-amauta.org/archives/7331

L'utilisation du sol


L’utilisation du sol est la modification par l’homme de son environnement naturel ou sauvage en un environnement humain ou construit tel que les champs, constructions et implantations humaines. Le principal effet de l’utilisation du sol sur la couverture du sol depuis 1750 a été la déforestation des régions tempérées.

Les effets négatifs récents les plus significatifs de l’utilisation du sol incluent l’étalement urbain, l’érosion, la régression et dégradation des sols, la salinisation et la désertification.

Les changements dans l’utilisation du sol et l’usage des combustibles fossiles constituent les principales sources anthropogéniques de dioxyde de carbone, un des principaux gaz à effet de serre.

Les pratiques de l’utilisation et de la gestion des sols ont un impact important sur les ressources naturelles telles que l’eau, le sol, la faune et la flore. L’information sur les utilisations du sol peut être utilisée pour développer des solutions pour la gestion des ressources naturelles comme la salinité et la qualité des eaux.

Les engrais et les pesticides contribuent à la perte d'humus et à une dégradation des qualités pédologiques du sol, et que le drainage et l'arrosage ont des impacts en amont et en aval (coûts externes) non compensés.

Bibliographie :

WIKIPÉDIA. Utilisation du sol, [Consultation : 31/03/10]. Disponible : http://fr.wikipedia.org/wiki/Utilisation_du_sol

WIKIPÉDIA. Agriculture intensive, [Consultation : 1/04/10]. Disponible : http://fr.wikipedia.org/wiki/Agriculture_intensive

(Image) L'INTERNAUTE. Les méfaits de l'agriculture intensive, [Consultation : 1/04/10]. Disponible : http://www.linternaute.com/television/magazine/photo/vu-du-ciel-voyager-utile/les-mefaits-de-l-agriculture-intensive.shtml

vendredi 12 mars 2010

Qu’est ce que la solidarité ?

La solidarité est le sentiment de responsabilité et de dépendance réciproque au sein d’un groupe de personnes qui sont moralement obligées les unes par rapport aux autres. Ainsi les problèmes rencontrés par l’un ou plusieurs de ses membres concernent l’ensemble du groupe. La solidarité conduit l’homme à se comporter comme s’il était directement confronté au problème des autres, sans quoi, c’est l’avenir du groupe (donc le sien) qui pourrait être compromis.

La solidarité humaine est un lien fraternel et une valeur sociale importante qui unissent le destin de tous les hommes les uns aux autres. C’est une démarche humaniste qui fait prendre conscience que tous les hommes appartiennent à la même communauté d’intérêt.

La solidarité doit être distinguée de l’altruisme qui conduit à aider son prochain, par simple engagement moral, sans qu’il y ait nécessité de réciprocité, ainsi que de la coopération où chacun travaille dans un esprit d’intérêt général pour l’ensemble.

Voici ci-dessous quelques exemples d’associations solidaires.

Les organisations internationales:

Les organismes internationaux à l’origine de l’aide au Tiers monde sont en général liés à l’Organisation des Nations Unies (ONU), mais il existe de nombreuses autres organisations, telles la Banque mondiale, qui regroupe la Banque Internationale pour la Reconstruction et le Développement (BIRD), l'Association Internationale de Développement (AID), la Société Financière Internationale (SFI); la FAO (Food and Agriculture Organization), qui est en charge du programme de l'ONU pour le développement et qui, chaque année depuis 1946, organise une journée mondiale de l’alimentation.

Les ONG:

Les organisations non gouvernementales (ONG) sont innombrables. Généralement composées de bénévoles, elles mènent des actions aussi bien d’ordre religieux que professionnel.

Bibliographie :

LE BLOG DU MIROIR DE LA DESTINÉE. Définition de la solidarité, [Consultation : 12/03/10]. Disponible : http://sourcevoyance.com/avec-son-coeur/2111/definition-de-la-solidarite.html

RVWEB. La faim dans le monde (7): La lutte contre la faim, [Consultation : 12/03/10].

(Image) NAVIMAG. Solidarité complète à distance, [Consultation : 13/03/10]. Disponible : http://www.navi-mag.com/regularisation-des-sans-papiers--un-leitmotiv-politique-id-3273.html